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Bernard Arnault (LVMH), Patrick Martin (Medef), Patrick Pouyanné (Total Énergie), Olivier Andres (Safran), Michel Édouard Leclerc, et d’autres . lorsque les patrons français se rebiffent publiquement contre le pouvoir politique, c’est nouveau mais c’est risqué parce que cela tire dans tous les sens.

Patrick Martin, président du Medef, était l’invité de BFMTV. Il revient sur l'annonce par Donald Trump de droits de douane sur les produits entrant aux États-Unis.

Alors que le conclave réuni pour inventer une retraite équilibrée est en sursis, les partenaires sociaux cherchent à élargir la réflexion à l’ensemble de la protection sociale. Le Medef et la CFDT sont à la manœuvre.

Dans une interview accordée au Journal du Dimanche, Patrick Martin s’est exprimé sur la question de l’âgé légal de départ à la retraite. Récapitulatif.

Patrick Martin, le président du Medef, et Philippe Aghion, professeur au Collège de France, ont constitué un collectif d’économistes et de chefs d’entreprise pour ramener le débat politique à la réalité des chiffres et des faits, et retrouver le chemin de la prospérité perdue.

Lundi, le nouveau ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, avait déclaré qu'il allait "prendre tous les moyens" pour faire baisser "l'immigration en France".

« Nous sommes dans une attitude constructive à l'égard de ce gouvernement », a noté le patron des patrons, « car nous sommes conscients que la situation des finances publiques est très grave et l'équation politique fragile ».

La visite de Patrick Martin à la fête de l'Humanité aurait pu être intéressante pour tenter de débloquer le dialogue, notamment avec la CGT et l'extrême gauche, encore fallait-il avoir quelque chose à dire.

Le nouveau président du Medef a dû surprendre quelques-uns de ses pairs en lâchant quelques critiques à l'encontre de certaines décisions du président Emmanuel Macron. Un discours qui préfigure un dialogue certainement beaucoup moins cordial qu'il ne l'était avec son prédécesseur, Geoffroy Roux de Bézieux.

Le Medef critique le gouvernement de ne pas respecter son engagement à réduire les prélèvements sur les entreprises. Le gouvernement se vante d'être pro-business, c'est-à-dire favorable aux entreprises, mais oublie de réduire les dépenses publiques et sociales.

Saluant la position «pro-business assumée» de la première ministre, le patron des patrons a regretté le désaccord persistant autour de la suppression de la CVAE, reportée par le gouvernement.

Le président de la République s’est exprimé en visioconférence aux Rencontres des entrepreneurs de France (REF).

Pour les patrons d'entreprise, l'année 2023 restera très particulière. Ils ont élu un nouveau président, ils sortent du "quoi qu'il en coûte" et cherchent désespérément quelle sera la politique économique qu'on leur infligera et qui la conduira…

Le nouveau président du Medef succède à un Geoffroy Roux de Bézieux plutôt cool qui a tout fait pour éviter les affrontements avec les partenaires sociaux et surtout le gouvernement … Sauf que tout a changé ... il va falloir maintenant réveiller le patronat et s’attaquer aux vrais problèmes.

Moins d’ego et plus de dossiers : Les deux candidats à la présidence, vont présenter à partir de ce soir leur vision du rôle que chacun pourrait tenir une fois élu. Le duel ne sera pas brutal mais le programme commun est attendu par le monde de l’entreprise

Les adhérents du Medef départageront Patrick Martin et Dominique Carlac'h pour élire leur nouveau président le 6 juillet. Les deux candidats présentent leurs programmes ce mardi 30 mai aux grands électeurs du Medef.

Ils sont trois à avoir été sélectionnés pour briguer la présidence du Medef et succéder à Geoffroy Roux de Bézieux. Chacun a essayé de rallier ses réseaux mais aucun n’a encore dit à quoi pouvait servir le Medef ?

Aucun des candidats déclarés n’est porteur d’une réforme de l’organisation patronale. Le Medef s’enfonce dans le conservatisme.

Après l'éviction de Dominique Sénard devenu le non-candidat à la présidence du MEDEF, les candidatures affluent. Elles recouvrent pour l'essentiel le fossé qui oppose depuis toujours (ou presque) au sein du patronat les libéraux et les sociaux-démocrates. Petit point sur les candidatures.